Une collègue m’a fait découvrir le magnifique roman La solitude des nombres premiers de l’auteur italien Paolo Giordano.
Mise en garde. Les romans, c’est pas trop mon truc. Je trouve ça souvent « gnagna »; une représentation édulcorée de l’impossible, d’un idéal irréaliste et foncièrement grossier. Une vie faussement trépidante se situant aux limites de l’imagination de son auteur alors que de vraies personnes en chair et en os vivent des histoires nettement plus trépidantes que ce que tous les auteurs de la terre ne sauraient pondre. À l’inverse, certains auteurs perdent leur lectorat dans des détails; inutile fardeau pour les yeux, la concentration et le plaisir – Michel Houellebecq en étant la tête de file*. Ai-je dit qu’un Goncourt était plate? Oui.
Mais voici qu’un auteur rejoint les rangs de ces quelques auteurs de romans qui me plaisent.