Hier, j’ai écouté le film Whatever Works (2009) mettant en vedette Larry David, que j’ai connu avec Curb your enthusiasm, et écrit par Woody Allen. Je vous laisse la bande-annonce à la fin de ce billet.
Le film explore les rapports entres les hommes et les femmes sur le plan affectif et amoureux. Boris (Larry David) est un vieux grincheux d’une lucidité choquante. Il n’hésite pas à dire tout ce qui lui passe par la tête sans réfléchir aux torts que ses propos peuvent avoir sur les autres. Récemment divorcé, dépressif, aigre, il rencontre une jolie jeune femme, Melody (Evan Rachel Wood), 21 ans, qu’il héberge malgré lui. Ils deviennent amoureux. C’est à partir de ce moment que le film devient très très drôle. Je vous laisse découvrir.
Sur une autre note, le film m’a confirmé ce que je remarque depuis quelques temps, nous sommes à la merci des blondes.
Je m’explique.
Point de vue: Le complot des blondes
Un auteur de Nightlife Magazine que j’aime bien est Eric Chandonnet avec sa chronique Victime de la porn. Je suivais périodiquement son blogue, 10putes, avant qu’il n’écrive pour le magazine. Ces opinions et réflexions me font rire; sans pour autant dire que je les partage. Cela dit, il y a quelques semaines, je suis tombé sur son billet où il pose la question du développement des goûts en matière de préférence erotico-sexo-affective. Et voilà que je suis frappé!
Depuis l’adolescence, je préfère les brunettes. Or, depuis quelques temps, je constate que les blondes retiennent de plus en plus mon regard. La raison ne sied pas dans un quelconque manque criant de présence féminine dans l’intimité – quoique… – mais bien à ce que je qualifierais de « complot des blondes. »
Presque tous les personnages féminins principaux ou secondaires de séries télé sont tenus par des jolies blondes. Elles jouent toujours le rôle de la sexy-cool-attachante-charmante demoiselle. Preuves à l’appui:
Me voilà surexposé à de jolies femmes blondes qui me font reconsidérer mes préférences!
Bravo. Votre stratégie fonctionne.