Vendredi, Beauté, je vais voir le spectacle d’un groupe montréalais que j’affecte particulièrement. Bon, je t’en parle car ce n’est pas tout le monde qui le connaît et pourtant, ça mérite d’être découvert.
Le groupe, c’est The Dears (leur MySpace contient l’ensemble de leur premier album, sorti en 2000). Ça fait maintenant une quinzaine d’année qu’ils tournent et ont quatre albums à leur actif. Un collègue me les a fait découvrir en 2003 avec leur album No cities left. Ce que je trouve intéressant de ce groupe c’est surtout la voix du chanteur, Murray Lightburn, qui se promène entre le murmure, le cri, la puissante, la profondeur. Une de mes tantes est incapable d’écouter ce groupe car, dit-elle, la voix, la mélodie et les paroles la « virent trop à l’envers » et que « ça lève tout le méchant. » Un bel exemple de cela est la superbe chanson The Second Part (2000). Elle commence doucement et change du tout au tout…
Pour ma part, j’aime écouter l’album Gang of losers (2006) au point où la pochette est maganée. Un autre bel exemple où la voix du chanteur est mise à l’épreuve est la chanson Bandwagoneers de cet album. J’adore.
Enfin, l’album Missiles (2008) est le plus troublant. Berlin Heart et Lights off, entre autres, sont parmi les meilleures chansons qu’ils ont composées. Lights off en performance:
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