Ces clips qui m’animent

Bien que je sois de la génération Musique Plus, je n’ai jamais vraiment écouté ce poste et n’ai jamais développé d’intérêt particulier pour les vidéoclips.  Bien sûr, jeune, j’aimais bien écouter le vidéo de la chanson Tandem de Vanessa Paradis à cause de la guitariste, mais bon!

Électro-stop-motion

Cette année, quelques clips ont retenu mon attention, merci à Facebook, à Existing Visual et à FFFFound.  C’est le cas du clip pour la pièce Grindin’ du groupe électronique néerlandais Nobody beats the drum.

À première vue, ce clip à l’air plutôt simplet de stop motion.  On comprend l’envergure du travail quand on écoute le Making of de ce clip, un documenteur plutôt comique, mais qui démontre quand même la complexité de la tâche.

Dans le même genre, ce clip a aussi retenu mon attention cette année.  Il s’agit du clip 8-bit trip du groupe électronique Rymdreglage.  Plus de 1500 heures de stopmotion avec des Legos qui me replonge en enfance.

Ok Go

Tout le monde les a vus.  Ce sont, selon moi, les clips audacieux et originaux du groupe Ok Go qui se sont fait connaître, il y a quelques années, avec leur fameuse chorégraphie sur des tapis roulants pour leur chanson Here it goes again.

Ils ont aussi fait dans le stopmotion cette année.

Toutefois, ce clip n’est rien comparé au défi qu’a posé le clip de leur chanson This too shall pass.  Leur idée était de faire une « Rube Goldberg machine. »  L’ingénieur derrière ce chef-d’oeuvre est Adam Sadowsky et son équipe.  Je vous invite à écouter la conférence TED de l’ingénieur avant de regarder le clip en question.

Je vous quitte sur le clip WTF? Plutôt coloré quoique moins impressionnant.

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